Le praticien est tenu au secret professionnel conformément aux articles 226-13 et 226-14 du code pénal.
La préoccupation majeure du praticien est d’assurer au mieux de ses compétences le bien-être physique, émotionnel et mental de son patient dans le respect des choix de vie de ce dernier.
Le praticien ne se dit pas doté d’un don ou pouvoir particulier et ne fait aucune promesse de guérison miraculeuse. Sa pratique n’est ni religieuse ni sectaire.
Le praticien ne saurait être assimilé ou confondu avec un médecin, un psychologue ou tout autre professionnel de la santé dont la profession est règlementée.
Le praticien ne peut en aucun cas donner un avis médical, établir un diagnostic, prescrire ou modifier un traitement en cours.
Une séance ne saurait dispenser la personne de consulter son médecin traitant et/ou de suivre les prescriptions médicales établies. Seul un médecin peut prescrire ou modifier un traitement.
Dans certains cas, il pourra être demandé au patient de consulter un médecin.
Le praticien ne prend pas en consultation des mineurs de moins de 16 ans sans la présence ou l’autorisation formalisée d’un adulte responsable.
La dépendance thérapeutique ou l’incitation à des séances supplémentaires ne seront pas encouragées. Le but est de rendre les personnes autonomes face à leur santé.